Viviane Spanoghe

Konzert Beethoven haus Bonn

...Subtil und ausdrucksvoll...Uppige Klanglichkeit herrschte dann in der d-Moll-Cellosonate op.109 von G.Fauré und nicht zuletzt in der eingängigen, mit Pathos wahrlich nicht geizenden g-Moll-Sonate op.19 von S.Rachmaninow. Viel Beifall.

Barbara Kaempfert-Weitbrecht, General-Anzeiger Bonn  18-05-2004

Suites de J.S.Bach - Anvers, concerts de midi

Sa sensibilité féminine procure à certains mouvements une adresse tout en souplesse, en détails transparents, en séduction de motifs, là où d´autres cherchent à s´imposer. Elle domine remarquablement ses pages avec une exceptionnelle mémoire, une beauté du son et une musicalité raffinée, qui ont fort impressionné l´auditoire. Un des grands récitals de la saison en cours.

Olivier, La semaine d´Anvers  28-03-2002

Octobre musical de Carthage 2000

La violoncellista Viviane Spanoghe : ...La suite n°6 in re mag. di J.S. Bach provocava subito dopo uno choc che rimarrà memorabile. Raramente ho sentito una simile comunione tra solista e pubblico, il quale, come ipnotizzato dalle mani e dal volto ospirato dell´artista, ascoltava silenzioso e concentrato... Raramente anche ho sentito una simile padronanza dello strumente e della propria arte, raramento ho sentito una tale emozione...

Daniele Passalacqua, Corriere di Tunisi 16-11-2000

Meisterliches aus Belgien

Die Cellistin Viviane Spanoghe begeisterte durch ihr völlig gelöstes, klangvolles Spiel...brillante Virtuosität...

Yvonne Peruché - Beethoven Haus Bonn June 1996

Viviane Spanoghe [French Sonatas For Cello And Piano]

Le programme illustre la moisson chambriste qui résulta, au tournant du siècle dernier, de l’enseignement de Franck puis de d’Indy. (...). Plus tardive, mais coulée dans la même esthétique que cette dernière, la Sonate synthétique (1930) da la violoniste Jeanne Barbillion (1895-1982), élève de d’Indy, est en revanche une découverte. Le tout est défendu avec passion par deux excellents instrumentistes belges qui avouent dans la notice avoir redécouvert ces pages à l’occasion du premier concours Reine Elisabeth de violoncelle. Hormis une légère crispation à la fin du redoutable Opus 39 de Chausson, leur engagement et leur musicalité profonde méritent un coup de chapeau.

                                                                               Jean-Claude Hulot, Diapason, 1-2022